Zabsonré/Tiendrebeogo Wendlassida Joëlle Stéphanie
Service de rhumatologie CHU de Bogodogo.
Université Joseph KI-ZERBO
Introduction : selon l’OMS, en 2019, quelque 528 millions de personnes dans le monde vivaient avec l’arthrose, un chiffre en hausse de 113 % par rapport à 1990. L’arthrose rachidienne est une atteinte dégénérative du rachis. Elle est très fréquente en pratique rhumatologique. L’atteinte lombaire prédomine suivie de l’atteinte cervicale puis dorsale. L’objectif de ce travail était d’identifier les facteurs de risque d’arthrose afin de pouvoir apporter des solutions de prévention. Méthode: il s’est agi d’une revue de la littérature sur les facteurs de risque d’arthrose rachidienne. Résultats : De nombreux facteurs peuvent contribuer au développement de l’arthrose rachidienne. Certains facteurs sont non modifiables tels que la génétique, l’âge, le sexe féminin, les malformations. Les facteurs modifiables sont représentés par les postures inadaptées, les facteurs psychosociaux, le tabac. Plusieurs stratégies de prévention clés ont été proposées pour prévenir l’arthrose en mettant l’accent sur les facteurs modifiables afin de maîtriser la progression de la maladie. Cela passe également par un diagnostic précoce, une prise multidisciplinaire et un bon suivi du traitement. Conclusion : la prévention de l’arthrose rachidienne passe par la prise en charge des facteurs modifiables. Mots clés : arthrose, rachis, prévention

arthrose rachidienne, prévention, medecine preventive